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Couverture du livre Mille secrets mille dangers, dʼAlain Farah

Mille secrets mille dangers

dʼAlain Farah

Le Quartanier

« Fresque tragicomique servie par une narration élégante et maîtrisée où l’art de conter est la source d’un grand plaisir de lecture. Ce roman propose une galerie fellinienne de personnages aussi hauts en couleur qu’attachants, où l’autodérision fait bon ménage avec l’hypocondrie. Il s’agit d’une œuvre émouvante transcendant les limites de l’autofiction. »

— Comité d’évaluation par les pairs : Katia Belkhodja, Emmanuel Kattan et Alain Bernard Marchand

Résumé du livre

Alain épouse Virginie en la crypte de l’oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal. En apparence, ce sera le plus beau jour de sa vie – de leur vie. Tout le monde est là, les parents de la mariée, la grande amie, les parents du narrateur – Libanais d’Égypte immigrés au Québec il y a 30 ans, divorcés depuis 20, qui ne se parlent plus depuis 10. Mais, à l’approche de la célébration, Alain va plus mal que jamais. Les insomnies sont de retour, l’angoisse et la maladie aussi. Et aujourd’hui, son cousin Édouard, son garçon d’honneur, son frère, perd pied, emporté par la mécanique folle d’un déni aux proportions bibliques.

Alain prie pour que le sort les épargne, pour que ce grand jour en soit un de fête et de guérison. Or, un nom resurgit au détour d’une phrase, un nom maudit remonté du fond de sa mémoire, là où gisent la honte et la douleur des années sombres, un nom que rejoignent bientôt une voix, un corps, une histoire. Un fantôme se fait chair, qui a plusieurs visages. Et tout ce qu’on a voulu oublier, tout ce qu’on a refusé de voir, tout ce qu’on a détesté vient réclamer son dû.

Comme on fait son lit on se couche. Car la vie, ya Alain, est un piège qui sommeille dans la prison du temps. Oui, la vie, ya ebni, souviens-t’en, ne dure pas : quelques joies, de grandes peines, mille secrets, mille dangers.

Alain Farah sur fond blanc

Notice biographique

Né à Montréal de parents libanais d’Égypte, Alain Farah est écrivain, chroniqueur et professeur de littérature française à l’Université McGill. Il publie en 2004 un recueil de poèmes, Quelque chose se détache du port (finaliste au prix Émile-Nelligan), suivi de Matamore no 29 en 2008 et de Pourquoi Bologne (finaliste au Grand Prix du livre de Montréal) en 2013. En plus d’être chroniqueur à l’émission Plus on est de fous, plus on lit!, de 2011 à 2021, il collabore avec Mélanie Baillairgé à la création d’un roman graphique, La ligne la plus sombre, et signe l’adaptation théâtrale du Déclin de l’empire américain, de Denys Arcand, dont il y a eu près de 80 représentations. Alain Farah vit à Montréal, au Québec.

Photo : Justine Latour

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